• Les giroflées...

     

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    Quelques petites pervenches sur un talus

     

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    Les toutes petites fleurs blanches de spirée… 

     

     

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  • Le magnolia

     

     

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  •     Huile sur toile, d'un petit village montagnard du Piémont en Italie. Le peintre amateur est un ami.

     

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  • Quelques fleurs au hasard, sur les bords de la Mayenne.

     

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  • Sur les bords de la Mayenne, quelques blancs sont à la disposition des promeneurs.

     

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    Le château de Montgiroux, un des nombreux châteaux de la Mayenne.

     

     

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    C’est sans doute à Montgiroux que se tint vers 1058 un conciliabule contre Guillaume, jeune duc de Normandie. Édifice privé, le château actuel qui domine la vallée de la Mayenne fut construit de 1863 à 1869 pour le comte Frédéric de Robien, sur les plans des architectes manceaux, Delarue père et fils, et terminé en1901 par Beignet. De style Louis XIII avec des éléments Renaissance tels que les fenêtres à meneaux, ce château comprend un corps central avec un avant-corps sur ses façades orientale et occidentale.

    Deux pavillons d’angle sont placés très en retrait par rapport au corps central. Un parc à l’anglaise a été aménagé autour du bâtiment.

    Manoir de Morand

    Dans le hameau, se trouve l’ancien siège de la seigneurie de Montgiroux, qui a appartenu au XVIIe siècle au duc de Mazarin, devenu duc de Mayenne en 1654. Ce manoir en mauvais état présente les caractéristiques de l’architecture de la fin du Moyen-âge.

     

     

     

    link  

    www.ciap.lamayenne.fr/pdf-guides/PAH_montgiroux.pdf

     

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  •            Quelle maman ou grand mère n'a jamais reçu un magnifique bouquet tendu par une petite main adorable cette merveilleuse fleur de pissenlit?

     

     

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                 Pour tous ceux qui ont une pelouse ou un jardin, et voient tous les ans revenir le pissenlit, impossible de sans débarasser, alors, vengez-vous: mangez le!!!

     

                 Le pissenlit constitue le mets classique à préparer lorsque les premières pousses vertes apparaissent au printemps. L'intérêt de cette salade, c'est qu'elle vous attrape par les papilles gustatives caliciformes, celles qui sont exclusivement réservées aux aliments amers et qui se trouvent disposées en « V » à la base de la langue, tout au fond de la bouche. Celles-là mêmes qui sont en train de s'atrophier à force de ne pas servir parce que, dans notre culture du sucré, on a tout, tout, tout oublié des aliments amers, contrairement à nos ancêtres qui savaient, eux, quel bien ça vous apportait au sortir de l'hiver, même si ça vous faisait parfois rentrer les joues « par en dedans ».

     

                       Ce sont les jeunes feuilles qu'on apprête en salade, les plus vieilles étant vraiment trop amères.Pissenlit oeuf dur, ou lardons, un vrai régal. (Attention cueillir les pissenlits dans un lieu sans pesticide ni pollution.)

     

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    La Mayenne navigable

    Des quatre rivières qui constituent le bassin de la Maine, La Mayenne est la plus sinueuse et la plus encaissée. Elle court à travers une profonde vallée, à l’écart des villes et routes importantes, et a parfois l’apparence d’un fleuve.

    Distance en km                     : 122 km

    Nombre d'écluses                  : 45

    Gabarit (longueur x largeur)  : 30m x 5m

    Tirant d'eau                          : 1.1m

    Tirant d'air                           : 3.4m (2,1m à Laval pont de l'Europe)

     

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                  Maintenant, la seule navigation est celle de plaisance. Voici une des pénichettes que l'on peut voir naviguer.

     

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    La Mayenne en quelques mots.

    La Mayenne (200 km) prend sa source au pied du Mont des Avaloirs à 293 mètres d’altitude. Elle rejoint la Sarthe pour former la Maine au nord d’Angers.

    La Mayenne est alimentée par 1365 km de rivières et de ruisseaux.

    Deux ordonnances de François Ier, en 1536 et en 1537, prescrivent des travaux pour rendre la Mayenne navigable depuis Château-Gontier jusqu’à Laval.

    Par cette voie nouvelle doivent arriver à Laval les vins des bords de Loire.

    A partir de 1846, d’importants travaux de canalisation ont permis de rendre la rivière navigable de Château-Gontier jusqu’à Mayenne.

    Au XIXème siècle, la charge des bateaux atteignait parfois 130 tonnes, transportant surtout des matériaux de construction (pierres, bois), de l'anthracite provenant des mines de l'Huisserie, des grains, des fruits et des légumes.

     

     

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    Cognassier du Japon 

    On connaît trois espèces de cognassiers du Japon, arbustes caducs ou petits arbres, la plupart du temps épineux, que l'on appelle aussi " cognassiers à fleurs ". Ils comptent parmi les meilleurs arbustes du début de printemps, en raison de leur floraison très généreuse et de longue durée.

    Dès la fin de l'hiver, les petites corolles aux couleurs éclatantes s'ouvrent sur le bois nu et durent plusieurs mois, jusqu'à la venue du jeune feuillage. Après fécondation, elles donnent des fruits aromatiques jaune vert, parfois lavés de pourpre, qui ressemblent un peu à des pommes. Décoratif et parfumé, le fruit du cognassier du Japon est aussi comestible une fois cuit. Il est utilisé de la même manière que le coing du Cydonia pour faire des gelées. On le mélange souvent à des poires et des pommes dont il renforce la saveur. Il entre aussi dans la composition de certaines liqueurs.

    A l'automne, l'arbuste prend un nouvel attrait, avec son feuillage tout à fait remarquable, d'une jolie teinte dorée parfois carmin.

     

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  • Je sais, jonquilles ou narcisses, c'est banal mais bien agréable au jardin comme à la maison.

     

     

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    Une plante de la famille des amaryllidacées.
    Elle est originaire des régions méditerranéennes.
    Nom botanique: narcissus. On l'appelle aussi narcisse.
    Il existe plus de 50 variétés de jonquilles.
    C'est une plante vivace à bulbe et à feuillage caduc.
    Toute les parties de la plante sont toxiques.
    Sa taille est comprise entre 15 et 50cm.

     

     

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  •           Juste un petit bouquet de printemps pour la table de ce midi, rien que des fleurs du jardin, et le savoir faire de mon épouse.

     

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  •            Pour la deuxième année, cet amaryllis nous fait l'honneur de refleurir.

     

              J'offre les photos à toutes les femmes qui me font l'honneur de venir visiter mon blog. Et à tous ceux qui aiment les fleurs. Même si parfois je suis très irrégulier.

     

     

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    Le même sous différents angles.

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    Et différents fonds.

     

    A bientôt.....

     

     

     

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  • Le Moulin de la galette

     

     

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    Une légende de Montmartre

     

    Des quatorze moulins situés sur la Butte de Montmartre qui servaient à moudre le blé et les fleurs, presser les vendanges, ou concasser les matériaux, seuls deux subsistent encore aujourd’hui : le Blute-fin et le Radet, datant de 1717, juste au-dessus du restaurant. Ces deux moulins formaient le célèbre ensemble du "Moulin de la Galette".

     

    La galette était ce petit pain de seigle que les meuniers Debray, propriétaires du lieu, vendaient accompagné d’un verre de lait. Après la défense de la Butte contre les Prussiens en 1814 la famille Debray se retrouve anéantie. Ils transformèrent le lait en vin de muscat et le Moulin de la Galette en bal populaire dans les années 1860. L'ambiance y est décontractée et la clientèle plus populaire que dans les autres établissements.

     

    Renoir y a peint le célèbre tableau du "Bal du Moulin de la Galette" (actuellement au musée d’Orsay), Van Gogh "Les jardins de la Butte-Montmartre" mais aussi Utrillo, Dufy, Bernard, Toulouse-Lautrec et Picasso ont immortalisé ce célèbre Moulin, dans lequel le Tout Paris venait s’encanailler et admirer les revues de La Goulue, Nini Patte en l’air et Nid d’Egoût …

     

    Après avoir servi de music-hall, on y vit un studio de télévision avec l’ORTF, puis enfin un restaurant fréquenté dans les années 80 par une célèbre artiste de variétés d’origine égyptienne, Dalida.

     

     

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    Les dix premières années du Moulin rouge s'enchaînent dans un tourbillon de soirées plus extravagantes les unes que les autres : inspirées du cirque, on retrouve les attractions - dont celles du Pétomane, restées célèbres. Il est surnommé « le premier palais des femmes » par ses propriétaires Joseph Oller et Charles Zidler.

     

    Autour du cancan, on monte les premières revues - celle des Circassiens et Circassiennes en 1890. On y organise des concerts bals tous les jours à 22 heures. On y fait scandale avec le bal des Quat'z'Arts et son défilé de Cléopâtre nue portée par quatre mâles, entourés de jeunes filles tout aussi dénudées et alanguies sur des lits de fleurs...

     

    Un début en fanfare qui, à l'orée du siècle suivant, va perdre de sa splendeur. Le 29 décembre 1902, l'heure du dernier bal a sonné dans l'indifférence générale. Le quadrille n'est plus à la mode, le Bal du Moulin rouge se transforme en théâtre-concert sous la houlette de son nouveau directeur Paul-Louis Flers. Un revuiste bien connu sur la place de Paris et qui souhaite faire un lieu beaucoup plus prestigieux. Il restera 9 mois à la tête du célèbre établissement. De nombreux directeurs lui succèderont, ce qui n'empêchera pas le Moulin rouge de trouver sa vitesse de croisière.

     

    Sous des pseudonymes particulièrement imagés et plutôt canailles, les plus illustres danseuses de l'époque rivalisent, chacune avec son tempérament, sur la scène du Moulin rouge. La figure de proue incontestée du French cancan reste la célèbre Goulue et sa gouaille inimitable. Mais elle n'est pas la seule à s'illustrer dans l'art du cancan : on retrouve régulièrement sur scène Jane Avril surnommée Jeanne la Folle, la Môme Fromage appelée ainsi en raison de son jeune âge, « Grille d'égoût » connue pour son goût du chahut. Dès 1885, elle ouvrira à Montmartre une école de Cancan. En 1895, Nini patte en l'air ouvrira un cours de cancan, rue Fontaine. On applaudira au Moulin rouge, a ses débuts, avant le Divan-Japônais Yvette Guilbert, la grande diseuse nationale et imitatrice de Sarah Bernhardt... Seule figure masculine marquante dans cet aréopage de femmes : Valentin Le Désossé autrement appelé l'Homme du Quadrille et qui n'aura jamais son pareil pour faire danser les filles.

     

    Toulouse-Lautrec, fidèle parmi les fidèles, est le grand témoin de cette période faste. Parmi l'ensemble de ses œuvres, dix-sept d'entre elles, dont certaines célèbres dans le monde entier, sont directement inspirées du Moulin rouge. Il en est un des personnages emblématiques. Toulouse-Lautrec ne serait sans doute pas ce qu'il est sans le Moulin rouge et la Goulue. De même, le music-hall serait-il aujourd'hui ce qu'il est sans le talent du peintre ?

     

    Un autre incident se produisit en 1927 lors d'un show où les filles en tenues moulantes sortaient de gâteaux géants. Elles devaient ensuite danser et chanter. L'ennui, c'est que pour aller du sommets des gâteaux d'où elles sortaient à la scène, il leur fallait marcher sur un étage du gâteau, recouvert de crème pâtissière très glissante. Et une fois leurs chaussures (à talons aiguilles) enduites de crème glissante, les filles n'arrivaient plus à tenir debout et trébuchaient sans cesse (la scène devant aussi être glissante). Et comme on avait dù leurs donner l'ordre de ne retirer pour aucun prix leurs escarpins, les filles ont passés tout le spectacle à glisser et à reglisser, et à se retrouver les fesses par terre. Le show fut une véritable catastrophe !

     

    L'établissement est racheté en 1904 par Paul Flers. Celui-ci confie à l'architecte Édouard Niermans[1] le soin de le transformer en music-hall. On construit une grande scène digne d'un opéra, ouvrant sur une salle de 2200 places, équipée d'un balcon, de baignoires, et de loges d'avant-scènes. Une salle de restaurant à l'étage permet de dîner tout en regardant le spectacle.

     

    Après 10 ans de fermeture, il rouvre en 1925 avec un spectacle grandiose. La célèbre Mistinguett y offre une succession de grands succès grâce entre autres à son affichiste et costumier Charles Gesmar. Au faîte de sa gloire, elle redonnera à ce prestigieux cabaret l’éclat de son rang.

     

    Depuis 1951, le Moulin rouge appartient à Jacki Clérico. Il remet sur scène les grandes revues de music-hall, plumes, strass et paillettes, sans oublier le French-Cancan. Les succès s'enchaînent et le Moulin rouge redevient très rapidement le plus célèbre cabaret du monde.

     

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      L'architecture / La construction

     

    · L'architecte est Paul ABADIE, mais six architectes se succédèrent pour achever l'édifice

    · Le style : Romano-byzantin

     

          - c'est-à-dire contraste avec les églises du Moyen Age:par exemple le style gothique de Notre-Dame de Paris (1163-1240).

          - le style s'inspire de modèles comme Sainte Sophie de Constantinople ou encore San Marco de Venise ou Ravenne.

     

    · La durée des travaux :

     

          - 1875 : Pose de la première pierre puis travaux, pendant plusieurs mois, de soutènement. Il faut creuser des puits de 33 mètres de profondeur, qui, comblés deviennent des piliers sur lesquels repose l'édifice. Sans ces piliers la Basilique s'enfoncerait dans la glaise.

          - 1878 : Début des travaux de la crypte

          - 1881 : Début des travaux de la Basilique proprement dite

          - 1914 : Tout est prêt pour la consécration - y compris le clocher qui abrite "la Savoyarde", cloche de 19 tonnes - mais la première guerre mondiale éclate (1914 - 1918)

          - 1919 : C'est le 16 octobre que la consécration aura lieu.

     

    · L’intérieur : aussi de style romano-byzantin

    La grande mosaïque a été faite de 1900 à 1922

    Les vitraux posés de 1903 à 1920 - mais détruits en 1944 par des bombardements - sont refaits en 1946

    Le grand orgue est signé Cavaillé-Coll

    · Les dimensions : largeur : 85 mètres - longueur : 35 mètres

    Dôme : Hauteur 83 mètres

    Coupole : hauteur 55 mètres, diamètre 16 mètres.

    Du parvis de la Basilique, on voit toute la ville de Paris. La visite du Dôme, qui s'élève à plus de 200 mètres, permet d'apprécier un paysage qui s'étend à 50 km à la ronde. C'est donc le point le plus élevé de Paris après la Tour Eiffel (elle-même construite en 1889 !)  sa consécration l'Eglise reçoit le titre de Basilique, c'est-à-dire qu'elle est un lieu de pèlerinage.

    Le Cœur du Christ y est adoré dans le mystère de l'Eucharistie (messe). La prière d'adoration est à la fois préparation et prolongement du mystère eucharistique.

    Cette prière s'élève jour et nuit vers Dieu, prière pour le Pape, les Évêques, l'Eglise, prière de demande et d'intercession pour le monde.

    Texte Internet, suivre le lien:   www.sacre-coeur-montmartre.com/fr/basilique.html 

     

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    Le funiculaire de Montmartre, situé dans le 18ème arrondissement de Paris, est un funiculaire automatique permettant de monter au sommet de Montmartre, pour visiter notamment la basilique du Sacré-Cœur. Ce moyen de transport, qui fait aujourd’hui partie intégrante du paysage de la butte, a été inauguré en 1900.

    Pour le prix d’un ticket de métro.

     

    Origines du funiculaire

    La construction du funiculaire de Montmartre a été décidée par le Conseil municipal de Paris en 1891, afin de desservir la basilique du Sacré-Cœur.

    Le premier funiculaire, inauguré en juillet 1900, utilisait un contrepoids d'eau pour la propulsion des deux cabines.

    Le système était actionné par deux cuves de 5 m3 d'eau situées sous le plancher de chacune des cabines. Une cuve était remplie à la station haute : le poids de l’eau permettait la descente de la cabine par effet de gravité et entraînait dans la montée la cabine opposée.

    Ce système a permis de transporter un million de voyageurs par an pendant près de 30 ans.

    Texte internet

     

    Funiculaire de Montmartre

     

     

     


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  • Voici quelques portes d'immeubles parisiens.

     

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