• Les iles, car c’est un archipel dont le nombre d’îles change en fonction de la hauteur des marées, 52 à marée haute, et 365 à marée basse. Les Iles Chausey sont situées dans la baie du Mont St Michel, dont les marées sont impressionnantes, pouvant atteindre 14 mètres d’amplitude dans les plus forts coefficients.

    Une population de 10-12 habitants l’hiver et environ 400 l’été, sans compter les nombreux visiteurs journaliers arrivant par les bateaux depuis le port de Granville (entre 700 et 1000 par jour en moyenne car 3 bateaux de 250 places font 1 ou 2 aller-retour).

    Archipel resté Français en 1763 lors de la razzia de nos « amis anglais ?»   par le traité de Paris de toutes les autres iles appelées « Iles Anglo-normandes ».

    Cliquez pour agrandir 

    Les Iles Chausey

    Je vous propose un petit voyage, depuis Granville un matin ensoleillé. Pendant l’attente des  bateaux partis faire un premier tour de touristes (environ 2 heures entre chaque rotation), un spectacle nous fut donné par le départ d’un beau voilier.

    Les Iles Chausey

    Après « le trois mats », c’est « la galère » !

    Les Iles Chausey

    Voici le « Joly France 1 » pas loin du « Joly France II » le 3ième bateau le « Douce France» était en mer.

    Les Iles Chausey

    La sortie du port de Granville, le trois mats avait déjà viré de bord.

    Les Iles Chausey (1ière partie)

    Les puissants moteurs du bateau nous emportent vers les iles….. Chausey.

    Les Iles Chausey (1ière partie)

    ¾ d’heure plus tard, le phare de Chausey et en vue.

    Les Iles Chausey (1ière partie)

    Nous arrivons à marée haute, mais petit coefficient : 55.  

    Les Iles Chausey (1ière partie)

     

    Les Iles Chausey (1ière partie)

    La jetée en pente permet aux bateaux d’accoster presque toujours.

    Les Iles Chausey (1ière partie)

    Nos premiers pas sur Chausey.

    Les Iles Chausey (1ière partie)

    A quoi sert cette pyramide ??? La réponse dans le prochain épisode.

    A Bientôt...

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    6 commentaires
  • Vitré, petite ville de l’Ille et Vilaine à 30km de Rennes et en frontière avec la Mayenne.

    Le château médiéval impose sa puissance architecturale militaire. Élevé au XI° siècle, il est reconstruit du XIII° au XV° siècle sur le plan actuel.

    De nombreuses rues et ruelles avec des maisons à pan de bois et de belles demeures bourgeoises et hôtels particuliers datant de plusieurs siècles.

    Déambulation dans Vitré (35)

     

    Déambulation dans Vitré (35)

     

    Déambulation dans Vitré (35)

    Déambulation dans Vitré (35)

     

    Déambulation dans Vitré (35)

     

    Déambulation dans Vitré (35)

     

    Déambulation dans Vitré (35)

     

    Déambulation dans Vitré (35)

     

    Déambulation dans Vitré (35)

     

    Déambulation dans Vitré (35)

     

    Déambulation dans Vitré (35)

     

    Déambulation dans Vitré (35)

     

    Déambulation dans Vitré (35)

     

    Déambulation dans Vitré (35)

     

    A bientôt…

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    3 commentaires
  • Elle est communément appelée « courge gigerine » ou « courge barbarine » dans le sud de la France, bien qu'elle ne soit pas une courge au sens strict du terme. Elle porte le nom de citres dans l'arrondissement d'Apt, et de mérévilles dans celui de Carpentras1. En Espagne ou au Portugal, elle y porte le nom de gila. À Bordeaux, on peut acheter des pastèques à confiture sur les marchés, on les appelle "melons d'Espagne". En Savoie et dans l'Ain on utilisait à la même époque le mot Engurie (ce mot était d'ailleurs dans le Larousse édition 1900).

    CIRTE

    Elle produit un fruit, qui n'est pas comestible cru, mais uniquement cuit sous forme de confiture de pastèques, gelées ou tartes.(sources wikipédia)

    CIRTE

    C’est un fruit plutôt du sud, mais avec le réchauffement climatique il pousse aussi en Mayenne, merci au mois de juillet bien ensoleillé. J’espère pouvoir aller jusqu’à la maturité pour faire de bonnes confitures.  

    CIRTE

     

    Cette dernière était bien cachée, sous des feuilles d’autres cucurbitacées. 

    CIRTE

     

    Mais les 4 sont sous bonne garde de mon avertisseur à 4 pattes.

      CIRTE

    A bientôt…

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    2 commentaires
  • Lu sur "leparisien.fr"

    L'Allemagne a fait ses choux gras de la crise grecque

     

    10 Août 2015, 21h34 | MAJ : 10 Août 2015, 23h04

     

     

    La chancelière Angela Merkel s'était engagée auprès des Allemands à ce que les plans d'aide accordés à Athènes ne leur coûtent rien. Elle a réussi. Les contribuables d'outre-Rhin ne le savent peut-être pas encore : leur pays a pu réaliser des économies budgétaires de quelque 100 milliards d'euros depuis le début de la crise grecque en 2010.

    C'est ce que révèlent les calculs de l'Institut Leibnitz de recherche économique (IWH) qui ont été rendus publics lundi.

    Les investisseurs ont redoublé de confiance en l'Allemagne. Les experts ont effectué des simulations en partant du constat que les investisseurs confrontés à une crise économique effectuent le plus possible des placements sûrs. «Durant la crise européenne de la dette, l'Allemagne a profité de cet effet de manière disproportionnée», selon eux.

    Des gains même si Athènes ne remboursait pas. La crise de la dette en Europe a aussi permis à Berlin  de bénéficier de taux d'emprunts plus bas auprès de la Banque centrale européenne (BCE), ce qui aurait permis, selon l'IHW, des économies budgétaires globales d'au moins 100 milliards d'euros sur les quatre dernières années. «Des économies dépassent le coût engendré par la crise et ce même si la Grèce ne remboursait pas entièrement sa dette», écrivent les économistes. Pourtant Angela Merkel et son ministre des Finances Wolfgang Schäuble sont radicalement opposés à un effacement partiel de l'abyssale dette grecque alors que la plupart des économistes et certaines institutions internationales comme le FMI la juge insoutenable (à plus de 170% du PIB).

    De juteuses privatisations. L'Allemagne a également raflé d'importants contrats lors des privatisations menées tambour battant par Athènes depuis 2011 en échange de l'aide financière des Européens notamment. La société Fraport, associée à un entrepreneur grec, a notamment décroché le contrat de rachat de 14 aéroports régionaux grecs, dont certains très touristiques comme Corfou, pour environ un milliard d'euros.

    Un accord imminent entre la Grèce et ses créanciers

    Après tout un week-end de pourparlers, les discussions entre Athènes et ses créanciers sur un troisième plan d'aide à la Grèce se sont poursuivies d'arrache-pied lundi, avec l'espoir d'en finir très vite, malgré des réticences en Allemagne. Toute la journée, les Grecs ont poursuivi les discussions dans un hôtel du centre d'Athènes, avec les créanciers, Union européenne (UE), Banque centrale européenne (BCE), Fonds monétaire international (FMI) et Mécanisme européen de stabilité (MES). Athènes doit donner des gages de bonne volonté en acceptant des réformes d'assainissement de l'économie, en échange d'un plan d'aide sur trois ans de plus de 80 milliards d'euros - le montant reste à préciser -, le troisième après les 240 milliards d'euros apportés depuis 2010.

    Lundi soir, après s'être absenté des discussions pour rencontrer le Premier ministre Alexis Tsipras, le ministre des Finances Euclide Tsakalotos a estimé que les négociations «se passent bien». Pour faire passer auprès de l'opinion publique certaines mesures sociales difficiles, le Premier ministre a annoncé, hors du cadre de l'accord, une plus forte imposition des députés et une baisse du traitement des ministres.

    S'il est achevé mardi, le texte d'accord pourrait être voté par les députés grecs jeudi, puis être présenté vendredi aux ministres des Finances de la zone euro (Eurogroupe). Ce scénario idéal ouvrirait la voie à une entrée en vigueur du plan d'aide avant le 20 août, date à laquelle la Grèce doit absolument rembourser 3,4 milliards d'euros à la BCE.

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    1 commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires